Ces 5 objets du quotidien sabotent vos efforts zéro déchet sans que vous le sachiez
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Ces 5 objets du quotidien sabotent vos efforts zéro déchet sans que vous le sachiez

Vous pensez adopter un mode de vie zéro déchet exemplaire : vous refusez les sacs en plastique, vous recyclez, vous compostez… et pourtant, ces objets du quotidien qui sabotent vos efforts zéro déchet pourraient bien se cacher sous votre nez. Eh oui, certains produits apparemment inoffensifs génèrent des déchets ou des pollutions insoupçonnées, mettant à mal vos bonnes intentions sans que vous le sachiez. Faisons le tour de 5 de ces ennemis cachés de la poubelle vide. Vous découvrirez pourquoi ils posent problème et, surtout, comment s’en passer ou les gérer autrement pour rester fidèle à votre démarche écologique. C’est parti pour traquer ces saboteurs de l’ombre de notre quotidien !

1. Les tickets de caisse : le petit papier lourd de conséquences 🧾

Un ticket de caisse sur papier thermique, souvent imprégné de substances chimiques non recyclables.

Ces reçus papier que l’on vous remet à chaque achat (supermarché, magasin de vêtements, station-service) semblent inoffensifs. Qui ne s’est jamais retrouvé avec un portefeuille rempli de tickets de caisse froissés ? Pourtant, ces petits papiers peuvent saboter vos efforts zéro déchet de façon insoupçonnée.

Pourquoi sont-ils problématiques ?

D’abord, la majorité des tickets de caisse sont imprimés sur du papier thermique contenant des substances toxiques comme le Bisphénol A (BPA) ou son cousin le BPS. Ce sont des perturbateurs endocriniens que l’on évite dans les plastiques alimentaires, mais que l’on retrouve… sur les tickets de caisse ! Résultat : non seulement ces composés se transfèrent sur nos mains (voire dans notre organisme) lors de la manipulation du ticket, mais en plus ces tickets ne sont pas recyclables. Les recycler contaminerait le papier recyclé avec du BPA. Ainsi, si par zèle écologique vous glissez vos tickets dans la benne à papier, vous faites sans le vouloir un faux pas : ils pollueront la chaîne de recyclage. La consigne est claire : pas de ticket de caisse dans le bac de recyclage. Ils doivent rejoindre les ordures ménagères, à regret.

Quels sont leurs impacts sur l'environnement ?

On pourrait se dire que c’est un déchet minime. Détrompez-vous 😯 : on estime à 300 milliards le nombre de tickets de caisse imprimés chaque année dans le monde, nécessitant des millions d’arbres et des milliards de litres d’eau. En France, un seul hypermarché imprime près de 848 km de tickets par an ! La plupart finissent à la poubelle directement, quand ils ne s’envolent pas pour tapisser les trottoirs. Bref, ce petit bout de papier cumule un coût écologique important pour un usage très éphémère.

Comment agir ?

Depuis 2023, la France a d’ailleurs adopté la fin de l’impression systématique des tickets de caisse : c’est une bonne nouvelle pour économiser du papier et éviter cette pollution inutile. Pour votre part, vous pouvez : refuser le ticket dès que possible (beaucoup de commerçants proposent maintenant l’option « pas de ticket » ou l’envoi par e-mail). Vous protégez ainsi votre santé et réduisez vos déchets. Et si un ticket vous est imposé, ne le mettez surtout pas au recyclage, jetez-le avec les ordures classiques (ou conservez-le si nécessaire, puis jetez-le). C’est un geste simple, mais qui évite de saboter vos efforts zéro déchet avec un déchet toxique caché.

 

2. Les sachets de thé : une infusion aux microplastiques 🍵

Saviez-vous que certains sachets de thé classique contiennent du plastique caché qui finit… dans votre tasse ?

Ah, la pause thé ☕, un rituel quotidien pour beaucoup d’entre nous. Un sachet, de l’eau chaude, et hop ! Mais derrière son apparence anodine de papier, le sachet de thé cache parfois un ingrédient indésirable : du plastique. Incroyable, non ? Et pourtant, c’est vrai : de nombreux sachets de thé contiennent une part de polypropylène (un plastique) pour souder le sachet, ou bien sont carrément en nylon ou PET pour les sachets « soie » pyramides haut de gamme.

Comment cela sabote-t-il vos efforts ?

D’une part, si vous jetez vos sachets au compost en pensant qu’ils sont biodégradables, méfiance : les sachets avec du plastique ne se décomposent pas et vont polluer votre compost en microplastiques. Ces microplastiques finiront dans le terreau puis possiblement dans vos plantations (laitues aux microplastiques, non merci). D’autre part, même dans votre tasse, le plastique se libère : une étude a montré qu’un seul sachet de thé en plastique peut relâcher environ 11,6 milliards de micro-particules de plastique dans l’eau chaude de votre tasse ! 😱 Cela veut dire que votre infusion n’est pas 100% feuilles… elle contient aussi une pincée de plastique que vous buvez sans le savoir. Pas très « zéro déchet » ni très sain, on en conviendra.

Que faire ?

Préférez le thé en vrac et les infuseurs réutilisables. Non seulement vous évitez ces sachets potentiellement polluants, mais en plus le thé en vrac a souvent meilleur goût (ce sont de vraies feuilles entières). Bonus : cela génère moins de déchets d’emballage de manière générale. Si vous tenez aux sachets, sachez qu’il existe des marques proposant des sachets compostables sans plastique (en fibres naturelles), mais il faut être sûr de leur composition. Le plus simple est de sortir vos belles boules à thé ou filtres en tissu. Grâce au vrac on évite les filtres en nylon ou en PET de certaines marques « qui libèrent des milliards de nano et microparticules dans l’eau chaude, ne sont pas recyclés et polluent l’environnement ». Votre effort zéro déchet sera ainsi cohérent jusqu’à la dernière goutte de thé.

Et si vous craignez de perdre en praticité, rassurez-vous : il existe de jolis filtres à thé réutilisables en coton biologique ou en inox. Ils s’utilisent aussi facilement qu’un sachet, sans produire de déchets. ♻️ Astuce zéro déchet : vos feuilles de thé infusées pourront aller au compost sans problème, ou même servir d’engrais naturel pour vos plantes. Une pause thé sans plastique et sans déchet, c’est possible et c’est bien meilleur pour la planète et pour la santé !

3. Le chewing-gum : du plastique que l’on mâche 😅

Cette petite boule à mâcher qui vous rafraîchit l’haleine, difficile de s’en méfier. Et pourtant, le chewing-gum moderne est un véritable sabotage zéro déchet. La plupart des gens l’ignorent, mais les gommes à mâcher conventionnelles sont fabriquées à partir de plastique 😬! Oui, sous le terme obscur de « gomme base » dans la liste d’ingrédients se cachent souvent des polymères issus du pétrole. Par exemple, on y trouve du polyéthylène et du polyisoprène, des composants qu’on retrouve dans les sacs plastique, les pneus de voiture ou la colle. Autant dire que mâcher un chewing-gum, c’est un peu mâchouiller du plastique parfumé.

Pourquoi c’est un problème ?

D’une part, on ne le mange pas (heureusement), donc une fois l’arôme dissipé, beaucoup de gens le jettent. Et soyons honnêtes : bien souvent, le chewing-gum finit collé sous une table ou craché dans la rue 😖. Étant du plastique, il n’est pas biodégradable : un chewing-gum jeté par terre peut mettre des années, voire des décennies à se dégrader, tout en se fragmentant en microplastiques. C’est un déchet urbain très répandu (regardez les trottoirs noircis de tâches rondes, surtout en été, ce sont des centaines de gommes collées). Chaque année, on produit plus de 2,4 millions de tonnes de chewing-gum dans le monde, une bonne partie finit dans la nature ou incinérée. Pour un objet censé n’être qu’éphémère, l’héritage environnemental est lourd : pollution visuelle (la fameuse gomme fossilisé sur le béton), nettoyage coûteux pour les municipalités, et ajout de plastique inutile dans l’environnement.

D’autre part, même si vous jetez votre chewing-gum à la poubelle, cela reste un déchet non recyclable et non compostable qui part en décharge ou à l’incinérateur. Sans parler des composés chimiques qu’il contient (édulcorants artificiels, additifs), bref, rien de très naturel.

Les alternatives zéro déchet

Bonne nouvelle, on peut aimer mâcher sans polluer 🙂! Il existe maintenant des chewing-gums naturels et biodégradables, fabriqués avec des bases gomme d’origine végétale (par exemple la résine de sapotier appelée chicle, utilisée traditionnellement en Amérique latine). Des startups se sont lancées dans l’aventure, comme la marque True Gum en Europe. Leur credo : « fini le plastique dans la bouche et sous les semelles de chaussures ! ». L'entreprise propose des gommes à mâcher véganes sans plastique ni ingrédients artificiels. On trouve aussi en magasin bio de la gomme naturelle issue de chicle. Ces alternatives se mastiquent tout aussi bien, rafraîchissent l’haleine, mais se biodégradent en quelques semaines une fois jetées, au lieu de souiller l’environnement pendant des années.

Le mieux étant bien sûr de ne pas jeter du tout : même un chewing-gum naturel, on le met à la poubelle (ou au compost s’il est 100% naturel et sans additifs de synthèse). En adoptant ces alternatives, vous évitez de saboter vos efforts avec un chewing-gum plastique. Et vos chaussures vous remercieront de ne plus coller sur les trottoirs 😜!

 

4. Les étiquettes sur les fruits et légumes : le minuscule déchet immortel 🍏

Bananes bio avec leurs étiquettes plastifiées, ces petits stickers représentent un vrai casse-tête environnemental.

Vous achetez vos pommes, avocats ou bananes en vrac pour éviter les emballages, bravo 🙌! Mais difficile d’échapper aux petites étiquettes autocollantes collées sur les fruits et légumes. Ces stickers indiquent souvent un code PLU, l’origine ou le logo bio. Un si petit bout de papier, ça ne peut pas faire de mal… Eh bien détrompez-vous : ces étiquettes sont en grande partie en plastique (ou traitées avec un revêtement plastique) et non biodégradables.

Pourquoi c’est un problème ?

Parce qu’on a tendance à les oublier. Soit on les avale par inadvertance (erk, mieux vaut éviter, ce n’est pas comestible), soit on les jette n’importe où, soit, cas fréquent, elles partent avec les déchets organiques. Si vous compostez vos épluchures 🍎, ne laissez pas ces stickers dessus : ils ressortiront intacts du compost des mois plus tard, plus brillants que jamais. Les composteurs industriels des collectivités détestent ces étiquettes qui contaminent le compost : un seul autocollant égaré se retrouve en petits morceaux de plastique dispersés dans l’amendement pour les champs. On a littéralement des « confettis » de plastique dans la terre à cause de ça. De plus, en centre de tri, ces mini-déchets sont quasiment impossibles à récupérer tant ils sont petits.

Quelques chiffres : en Australie, on estime que 5,6 milliards d’étiquettes de fruits sont décollées chaque année, ajoutant plus de 110 tonnes de plastique en décharge. À l’échelle mondiale, c’est un déchet minuscule en taille, mais colossal en nombre. Chaque fruit vendu à l’unité en est affublé… on vous laisse imaginer le volume quotidien.

Quelles solutions ?

Premièrement, prenez le réflexe de retirer les étiquettes de vos fruits/légumes et de les mettre à la poubelle (ordures ménagères) avant de composter les épluchures. Cela évitera de polluer votre compost. Deuxièmement, soutenez les alternatives : par exemple, certaines enseignes testent le marquage au laser sur les fruits (notamment sur les avocats, patates douces, agrumes) pour graver les informations directement sur la peau, sans autocollant. D’autres utilisent désormais des étiquettes en papier compostable. En France, la loi AGEC a même prévu d’interdire les étiquettes non compostables sur fruits et légumes depuis janvier 2022. Cependant, sa mise en œuvre a connu des retards et des débats (notamment pour les produits importés). En attendant la généralisation d’étiquettes 100% compostables, restez vigilant.

Si le sujet vous amuse, sachez qu’une artiste a même créé des collages d’art avec ces stickers pour sensibiliser à leur omniprésence 😅. Plus sérieusement, chaque fois que vous décollez une étiquette, dites-vous que c’est un petit geste de plus pour préserver la pureté de votre compost et éviter des microplastiques invisibles, mais bien réels dans la nature. Ce minuscule autocollant ne sabotera plus vos efforts zéro déchet !

5. Les mégots de cigarette : le faux coton ultra-polluant 🚬

Dernier de la liste, et pas des moindres : le mégot de cigarette. Si vous êtes fumeur ou que quelqu’un dans votre foyer l’est, attention, ce déchet-là est un vrai champion du sabotage environnemental. On le croit en coton (à cause de sa texture blanche fibreuse)… mais le filtre de cigarette est en plastique lui aussi ! Il est composé d’acétate de cellulose, une fibre plastique dérivée de la cellulose. En gros, un mégot, c’est un petit tube de plastique imprégné de substances chimiques. Pas étonnant qu’il ne se biodégrade quasiment pas.

Pourquoi c’est catastrophique ?

D’abord parce que les mégots sont partout 😬. Minuscule mais redoutable, le mégot de cigarette est l’un des déchets les plus répandus sur nos plages et nos trottoirs, rappelle Surfrider. Chaque année, des milliards de mégots finissent dans la nature. Or, un mégot ne disparaît pas : il va juste se fragmenter en micro et nanoparticules de plastique, tout en relâchant plus de 7 000 substances chimiques toxiques (nicotine, métaux lourds, arsenic...) dans le sol et l’eau. Un seul mégot peut à lui seul polluer 500 litres d’eau par les toxines qu’il contient ! Quant au plastique du filtre, il met des années à se dégrader. On retrouve des microplastiques de mégots jusqu’au fond des océans… Ce petit cylindre beige orangé est en réalité un fléau écologique.

En quoi cela sabote-t-il vos efforts zéro déchet ?

Si vous faites attention à trier vos déchets, à réduire vos emballages, mais que derrière vous jetez des mégots par terre ou même dans une poubelle sans précaution, vous introduisez un polluant très tenace dans l’environnement. Même un mégot jeté “proprement” reste un déchet non recyclable qui finira incinéré (en dégageant ses toxines) ou enfoui. Et s’il s’égare, il finit souvent dans les égouts puis les rivières et la mer. En termes d’image, difficile de prôner le zéro déchet avec un cendrier qui déborde de filtres en plastique 😉. C’est un angle mort classique de certains fumeurs écolos : on fait gaffe à tout sauf à la cigarette.

 

Que faire ?

Idéalement, bien sûr, ne pas fumer (pour plein de raisons), ou passer à la cigarette électronique (qui a d’autres impacts, certes, mais évite les mégots plastiques). Si vous fumez, ne jetez JAMAIS un mégot par terre. Utilisez un cendrier de poche pour les stocker jusqu’à trouver une poubelle. Certains programmes collectent et recyclent partiellement les mégots (on peut en faire du mobilier urbain...), renseignez-vous localement. Sachez que des initiatives fleurissent pour interdire purement et simplement les filtres en plastique, car ils sont inutiles pour la santé du fumeur et très nocifs pour l’environnement. En attendant, il existe des filtres biodégradables (en fibres de chanvre, par exemple). Prudence, ce n’est pas parfait et parfois c’est du greenwashing s’ils contiennent toujours de l’acétate. L’important est de traiter le mégot comme un déchet toxique, pas comme une vulgaire pelure de fruit. Un bocal en verre dédié peut servir de poubelle à mégots à la maison (évitez le plein air, un mégot mal éteint peut causer un feu). En somme, intégrer les cigarettes dans votre démarche éco-responsable est crucial pour ne pas laisser ce petit déchet empoisonné saboter vos efforts.

Le diable se cache dans les détails, dit-on, et ces cinq exemples le prouvent : même en étant attentif à réduire nos déchets, des objets du quotidien sabotent nos efforts zéro déchet en douce. La bonne nouvelle, c’est qu’une fois qu’on les connaît, on peut agir 😃 :

  • refuser les tickets de caisse,
  • passer au thé en vrac,
  • choisir des chewing-gums sans plastique,
  • décoller les étiquettes de fruits,
  • gérer correctement (ou éliminer) les mégots.

Chaque geste compte, et aucun n’est insignifiant. Rappelez-vous que l’objectif n’est pas la perfection absolue, mais la prise de conscience et l’amélioration continue. En 2025, de plus en plus de solutions existent pour que même ces petits « saboteurs » du quotidien soient neutralisés. Votre démarche zéro déchet n’en sera que plus aboutie et cohérente. De quoi poursuivre vos efforts avec le sourire et la fierté de faire vraiment de votre mieux 🌍💚 !

Objet du quotidien Problème principal Impact environnemental Alternative recommandée
Ticket de caisse Contient du BPA, non recyclable Pollution chimique et contamination du papier recyclé Refuser le ticket ou opter pour un reçu numérique
Sachet de thé Contient du plastique, libère des microplastiques Pollution invisible (dans la tasse ou le compost) Thé en vrac avec filtre réutilisable
Chewing-gum Base plastique, non biodégradable Microplastiques dans l’environnement urbain Chewing-gum naturel sans plastique (ex. chicle)
Étiquette de fruit Non compostable, pollue le compost Microplastiques dans le sol composté Retirer avant compost ou privilégier fruits sans étiquette
Mégot de cigarette Filtre en plastique, pollue eau et sol 7 000 substances toxiques et microplastiques Utiliser un cendrier de poche, filtres biodégradables

 

❓ FAQ Objets du quotidien et zéro déchet

🔸 Peut-on mettre les sachets de thé au compost ?

Pas toujours. Si le sachet est thermosoudé ou contient du plastique (polypropylène, nylon), il ne se dégradera pas dans votre compost. Seules les versions 100 % fibres naturelles sont compostables. En cas de doute, privilégiez le thé en vrac avec un infuseur réutilisable.

🔸 Pourquoi ne faut-il pas recycler les tickets de caisse ?

Parce qu’ils sont imprimés sur du papier thermique contenant des substances toxiques comme le BPA ou BPS. Ces composés contamineraient le papier recyclé. Résultat : les tickets doivent être jetés dans la poubelle classique, surtout pas dans la poubelle jaune.

🔸 Un chewing-gum peut-il vraiment polluer l’environnement ?

Oui, car la gomme de base des chewing-gums classiques est issue de plastique. Une fois jetée par terre, elle met des dizaines d’années à se décomposer, tout en relâchant des microplastiques. Des alternatives biodégradables existent : elles sont sans plastique, souvent à base de chicle (sève d’arbre).

🔸 Les autocollants sur les fruits sont-ils compostables ?

La plupart ne le sont pas : ils sont faits de plastique ou traités avec un film plastique. Avant de mettre vos épluchures au compost, pensez à retirer systématiquement les étiquettes pour éviter la pollution plastique dans le terreau.

🔸 Que faire de ses mégots de cigarette quand on est fumeur engagé dans une démarche zéro déchet ?

Ne jamais les jeter par terre. Un mégot contient plus de 7 000 substances toxiques et un filtre en plastique. Utilisez un cendrier de poche et, si possible, optez pour des filtres biodégradables (avec prudence). Des programmes de recyclage des mégots existent localement.




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